23/01/2014

*Déballer*#2



























Comme promis, la suite du déballage de ma bibliothèque pour mon Pas la peine de crier fictif.
Le deuxième auteur que je retire des étagères,
Fabrice Melquiot.

J'ai découvert Fabrice Melquiot en allant voir un spectacle de danse de Marion Levy, En somme, dont il avait écrit le texte. (Très beau spectacle sur le sommeil.)
J'ai voulu lire autre chose.
Je suis tombée sur un petit recueil de trois monologues qui m'a attirée par son titre : C'est ainsi mon amour que j'appris ma blessure.

C'est du dernier monologue L'Actrice empruntée dont je vais vous lire un extrait.
J'aurais adoré travailler ce texte au théâtre. Mais je ne fais plus de théâtre.
Je crois que j'atteindrai mon rêve de théâtre quand je serai morte puisque, vivante, je suis quelqu'un qui n'ose pas.

En attendant, je lis, un tout petit morceau. Vous m'entendez ?












Là, on laisse un silence.
Cette dernière phrase le mérite. Cette dernière phrase doit résonner un peu.

Puis Marie Richeux me demande, quelle musique vous choisissez pour aller après ce texte ?
J'ai toujours du mal à choisir, mais celle-là. Un peu fort le son, je crois que ce sera bien.
Et vous pouvez même danser.

2 commentaires:

mirabellef a dit…

J'adore. Merci petit papillon. :-)
Bisettes du soir.

Christine a dit…

J'aime ce déballage... Bises